Thursday, April 14, 2011

AnA Smood: Mon évolution modesque

Franchement, la mode, c'est ok.
Et franchement, à l'époque, j'étais vachement douée.
A 16 ans je dévorais les magazines de mode comme des chips devant la télé. Glamour, Harper's Bazaar, W, Teenvogue, Vogue (en multilangue). Je les achetais tous, j'organisais mon blocus-mode à moi et je les connaissais par coeur. 




Ergo, j'étais au courant. Ouai. Je savais distinguer le Fendi du Gucci (peut-etre pas trés dur), le Lanvin du Balmain, le Viktor & Rolf du Yamamoto et le Marni du Miu Miu (deja moins facile hein?).
En ce qui concernait la Haute Couture, je préférais les De La Renta ou les Valentino. Il n'y avait de plus stylé que Giorgio et de plus top tendance que Domenico et Stefano (même si à vrai dire, j'ai jamais kiffé Dolce dolce). Pour être in , il fallait une robe du style Courréges et un clutch forme cassette ou LP de Chanel. En gros, je savais m'y retrouver.





Par contre, qu'est-ce que j'étais mal sapée. Il y avait la une vraie dichotomie entre ma culture générale en mode, et mon placard. En moyenne, je changeais de jeans tous les trois ans, car c'est celui qui m'allait bien et ca m'évitait d'éclater en sanglots en cabine chez zara avec 30 jeans qui te font des fesses "bizarres". Donc vous me comprenez. Mais alors le reste, c'était des sweats, des polos, quelques chemises sages.
Comme j'ai divagué entre les styles de garçonne manqué au style snob jusqu'au "m'enfoutisme vestimentaire", c'était pas étonnant, mais ce n'était en tout cas pas bibliothèque beau. Le même sac à dos, le même petit sac à mains, la même coiffure et le même rien de spécial. 

Et c'est pas que je suis moche! Non non. C'est que malgré l'encyclo des trends dans ma tête et ma bibliothéque, je n'avais aucune idee quoi faire avec.
Le sac à dos, les pulls à capuche, oui j'étais en secondaire donc en en faisait pas trop attention. Encore heureux que c'était le cas, car les filles qui font partie de cette tranche d'âge aujourd'hui, s'habillent deja comme dans le magazines que je lisais en boucle. Mais moi, à 16 ans, personne attendait de moi que je m'habille comme les Olsen. ouf.





Fast forward 2011, c'est un peu different.
Alors, je sais que Galliano a été virée de chez Dior, que Chine reste mes créateurs belges préférés meme si les prix sont juste singlés, que Tom Ford bosse plus pour Gucci et que Mulberry c'est trop le truc de chez truc mais c'est tout. 
J'ai encore juste su déchiffrer ce que signifiait le mot "tregging" et le mot Perfecto, pour moi c'était un adjectif espagnol.
Et un bombardier,bon...Juste pour illustrer quoi.




Niveau tendance je suis un peu resté coincé en 2006. Je pense que le slim ca va encore, et au Top Shop, je voyais que des frocs type homme anglais baggy alors je me suis dit que ça devait être in.
En faite je suis un peu out-dated..C'est un peu comme ce message chiant de Itunes qui apparait toujours en allumant mon ordi: t'as le programme quoi!




Et sinon ton style ana? Il récupère du coma?
Eh ben ouai. Je crois enfin avoir trouvé un genre qui est le mien. Enfin, ça m'as pris du temps! J'ai découvert que j'aime mixer quelques styles de maniere subtile parce que je trouve  ces styles intriguant et j'ai quelques beaux vêtements qui me vont bien. le placard s'agrandit et s'embellit.
Et puis, mon défilé à moi, s'est matérialisé de facon plus réaliste qu'à Paris et Milan. Maintenant c'est devenu la rue. J'observe, je qualifie, et si je vois que ca marche dans la vraie vie, le metro et les bars, ça pourrait tres bien marcher sur moi. Du copier-coller.


Entre temps, si quelqu'un ayant un peu de temps libre, veut bien poster une liste quelque part avec tous les néologismes en mode, je le remercie d'avance.




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AnA

Tuesday, April 12, 2011

Tapas, bourgeoisie, paillettes et mondanités: Mercado de San Miguel

Les tapas version bourgeoisie, paillettes et mondanités, c'est au Mercado de San Miguel (Marché couvert) !
A deux pas de la Plaza Mayor, on peut trouvé les tapas espagnoles (ou pas), avec des saveurs particulières et toujours aussi délicieuses!
Ok, les prix y sont beaucoup plus élevés qu'ailleurs, mais bon, qui a dit qu'il en fallait peu pour être heureux?


Hamburger au foi gras








Horario: 

Lunes, Martes, Miércoles y Domingos de 10:00 hrs a 24:00 hrs. (horario continuo)

Jueves, Viernes y Sábados de 10:00 hrs a 02:00 hrs (horario continuo hasta las 2 de la madrugada)


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C.T.

Sunday, April 10, 2011

La chanson du dimanche: Faithless

Pour ceux qui ne sortent jamais de chez eux ou bien qui sont complètement « has been », j’ai l’immense regret de vous annoncer que le groupe Faithless a décidé de se retirer de la scène électro
Oui oui vous avez bien lu, Maxi Jazz et Sister Bliss les leaders emblématiques du groupe fondé en 1995 mettent un terme à plus de 16 ans de musique compilés en 9 albums avec autant de titres monstrueux qui ont bercés  notre fougueuse jeunesse. 
Pas besoin de vous rappeler des titres comme « God is a dj », « Insomnia », « I want more » ou encore « Mass Destruction », je suis sur qu’ils sont toujours dans votre mp3 mais pour ceux qui n’étaient pas aux Pias Nite pour le dernier show du groupe en Belgique, croyez moi sur parole, Dieu, ce soir là, était bien déguisé en Dj.




http://www.faithless.co.uk/



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A.C.

Saturday, April 9, 2011

Madrid, Parque del Buen Retiro y Passeo del Prado

Le samedi quand il fait chaud (genre mourrant de chaud, en mode je me sens shooté par le soleil), le parc de Retiro est le meilleur endroit pour allez se "refroidir" autour d'un botellón. C'est aussi l'occasion rêvée pour passer voir quelques musées (Museo Reina Sofia, Museo del Prado, Museo Thyssen-Bornemisza), histoire d'atteindre son quota de culturel pour le mois.













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C.T

Thursday, April 7, 2011

Party with the Ramones

Je vous l'accorde, le titre est assez prétentieux pour une soirée où il n'y avait en fait que le batteur du groupe mythe (pour les connaisseurs) The Ramones
Pourtant la soirée n'était pas moins amusante pour autant! Je pourrais même dire que c'est la plus folle soirée que j'ai passée ici à Madrid! 
C'est au son rock indie, sous la direction de Tommy Ramone que l'on a pu se déhancher toute la nuit!
Mais avant cela, passage obligé par la case tapas au resto El Rey de las Tortillas où ils servent des énooormes cervezas (bières) et des racion de patatas bravas (par ration, je veux dire un énorme plat de patatas que deux filles affamées n'arrivent pas à terminer).


Lara, Pedro, Cécilia

chicos & Georgina


Georgina, Lara & Clara

Pedro

Jacobo



Lara & Pedro
Ah oui, et la soirée était sponsorisée par Jagermeister, une pseudo boissson alcoolisée à l'anis et  plutôt mauvaise, mais who cares? On a ramené plein de cadeaux à la maison! (voir photos, plus bas)



chicos
Cherchez l'intrus

Oui, bon j'ai pas non plus dis que je les avais aimé ces cadeaux.

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C.T.

Sunday, April 3, 2011

La chanson du Dimanche: Under Cover of Darkness (The Strokes)

Avis aux amateurs de vestes en cuir cintrées, de cheveux crollés et de belles guitares cette année c’est le grand retour de The Strokes, ce groupe New-Yorkais mené par la fougueux Julian Casablanca (oui oui le fils de John, fondateur de l’agence de mannequin Elite). 






Après 5 ans d’absence ils nous reviennent avec un premier single « Under Cover of Darkness » issu de l’album « Angles » sorti le 21 mars 2011.
Musicalement parlant on à affaire à du Strokes pur jus… ce qui ravira les fans ou au contraire en décevra certains. 





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